Abû Hurayrah (qu’Allah l’agrée) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Si je possédais l’équivalent de la montagne d'Uḥud en or, je serais certes heureux de ne pas laisser passer trois jours alors que j’en garde encore quelque chose, si ce n’est de quoi rembourser une dette. »
Abû Hurayrah (qu'Allah l'agrée) relate : « Un homme vint réclamer au Prophète (sur lui la paix et le salut) ce qu'il lui devait et fit preuve de rudesse à son égard. Ses Compagnons (qu’Allah les agrée) furent sur le point de s'en prendre à lui lorsque le Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) dit : « Laissez-le ! Celui qui est dans son droit a le droit de parole ! » Il dit ensuite : « Donnez-lui une bête du même âge que la sienne. - Ils dirent : Ô, Messager d'Allah ! Nous ne trouvons que des bêtes d'un âge meilleur que la sienne ! - Il dit : Donnez-lui ! Car les meilleurs d'entre vous sont ceux qui remboursent leurs dettes de la meilleure façon. »
Abû Hurayrah (qu’Allah l’agrée) relate : « Celui qui trouve son bien chez un homme - ou un individu - déclaré en faillite, est le plus en droit de le récupérer que quiconque. »