Buraydah (qu’Allah l’agrée) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Celui qui jure par le respect du dépôt n’est pas des nôtres ! »
Abû Hurayrah (qu'Allah l'agrée) relate : « Celui qui jure en disant dans son serment : " Par 'Al-Lât' et 'Al-‘Uzzâ !' ", qu’il dise : " Il n’est de divinité [digne d’adoration] en dehors d’Allah ! " Et que celui qui dit à son compagnon : " Viens ! Je parie avec toi ! " qu’il fasse une aumône ! »
Abû Hurayra (qu’Allah l’agrée) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Que l’un d’entre vous s'obstine à respecter son serment, en nuisant à sa famille, est, auprès d’Allah, un péché plus grand que [de rompre ce serment] et de l'expier en donnant ce qu’Allah a imposé [comme expiation]. »
ʽÂ'ishah (qu'Allah l'agrée) relate : « Le verset : { Allah ne vous tient pas rigueur pour la futilité dans vos serments. } [Coran : 2/225] a été révélé concernant la parole d'un homme qui avait dit : "Non, par Allah !" et "Mais si, par Allah !" ».
Abû Umâmah Iyâs ibn Tha'labah Al-Hârithî (qu’Allah l’agrée) relate : « Celui qui s'accapare le droit d'un musulman par le biais d'un serment, Allah le condamne à l'Enfer et lui interdit le Paradis. - Un homme dit : Même s'il s'agit de quelque chose d'insignifiant, ô, Messager d'Allah ? - Il dit : « Même pour un bâton d'arâk ! »
Buraydah (qu’Allah l’agrée) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) a dit : « Quiconque jure en disant : " Si je mens, je n’ai plus rien à voir avec l’Islam ! " sera tel qu’il s’est décrit s’il ment. Et s’il dit la vérité, il ne reviendra pas à l’Islam sans en subir de conséquences. »